Nous sommes sous le régime mortifère du démon, représenté sur Terre par des gouvernements francs-maçons qui ont pour rôle de détruire les structures mêmes de la vie, que l'on ne peut cultiver que dans des familles saines et unies. En pratiquant la « familiophobie », ils espèrent faire d'un monde anciennement voué à Dieu, l'univers de leur maître : Satan !

Dès la naissance, le bébé nouveau venu sur terre est, dans les circonstances normales, aimé, choyé, soigné, câliné. Il pousse peu à peu d'autant mieux qu'il est puissamment protégé au coeur d'une famille. Si cette première étape n'est pas franchie avec succès, l'enfant demeurera chétif, craintif, se sentant rejeté, et développera maints complexes, maintes fausses fixations, se croyant à tort ou à raison poursuivi par un mauvais sort, et la rancoeur, voire la haine, seront autant de mauvaises graines ne demandant qu'à se développer en lui.

A cette première étape, fort importante, succèdent la croissance, les premiers contacts avec le monde dit civilisé. Le petit homme découvre autour de lui toutes les tares qui font de l'humanité une jungle dans laquelle, désormais, il devra évoluer. Au sein de ce monde peuplé d'êtres plus cruels que les animaux, sa jeune vie va devoir s'adapter aux désillusions, aux coups bas, aux trahisons de ses semblables. Et c'est là qu'intervient la notion de soutien familial ! Là, que de tout temps, dans toutes les sociétés, les anciens prennent en charge l'éducation définitive du jeune humain.

S'il se sent aimé par les siens, l'enfant saura réagir sainement, se confier à ses parents ou à ceux qui l'ont en charge, et, bien conseillé, mis en confiance et aimé, les épreuves les plus dures lui seront d'autant plus faciles à franchir. Si cela n'est pas, le ver entrera plus profondément en lui, préparant des réactions de plus en plus marquantes, pour lui incompréhensibles. La Révolution Nationale du Maréchal Pétain, attachait toute son importance à ces notions indispensables. La HOLLANDIE s'efforce de réduire à néant des valeurs capitales, menant nos descendants à la chienlit et au malheur.

Moi, mon frère aîné, mes parents, en 1939

L'adolescence fera découvrir au jeune ensuite qu'il existe une autre forme d'amour. Celle qui se développe entre amis, entre copains, puis celle que ses sens lui injecteront à petites doses. L'amour charnel, bien vécu, cultivé comme une nécessité, lui procurera diverses satisfactions, et il franchira brillamment les étapes, du moins si dans ce cas-là aussi il a quelqu'un d'assez aimant dans son entourage, pour continuer à veiller sur lui, même en secret. Et c'est de cela que nos gouvernants indignes ne veulent plus. Un garçon, une fille, pour eux c'est pareil, c'est simplement de la chair à faire jouir, et donc à informer pour qu'ils le fassent même en bafouant les croyances les plus fondamentales et sacrées.

Vous l'avez remarqué, j'estime que cet être sera d'autant meilleur qu'il aura été plus aimé. La moindre caresse de sa mère, le moindre baiser, le marqueront au fer rouge. Son inconscient ne les oubliera pas : Autant il a été certain d'être adulé et protégé, autant il sera juste et aimable dans sa nouvelle vie d'adulte. Et l'éducation reçue à l'école, si elle redevient ce qu'elle a toujours été, aura sa part dans ses façons d'organiser son existence, en accord avec les puissances célestes.

Puis, le voilà en âge de connaître l'amour charnel et les liens que celui-ci sait procurer aux êtres normaux qui n'ont pas été forgés pour la jouissance, mais pour l'amour qui préside à celle-ci ! Glissons sur lui, c'est le mot juste, et venons-en à l'amour conjugal, celui que deux êtres doivent s'accorder sans aucune limite. Les baisers, en principe, ne manqueront pas, mais il faudra veiller à leur adjoindre le respect, la considération, voire l'adoration que l'on doit à son conjoint. Et alors viendront les enfants, pour lesquels le cycle devra recommencer...

Mais il faut souligner l'étape la plus importante, celle qui survient avec le temps écoulé : votre âge : Les enfants ont grandi, vous vous êtes sacrifiés pour eux, avez passé des nuits d'angoisse, bien éduqués, gâtés, en vous privant souvent du nécessaire pour leur donner le superflu, et, soudain vous vous retrouvez seuls...

Seuls, au pluriel, si vous avez la chance de vieillir en couple, mais, si l'un d'entre vous est parti, vous voici réellement SEUL, car nul ne sera à même de reconstituer vraiment un foyer brisé, soit par le départ de l'un pour un monde meilleur, soit par le fait de cette tragédie que constitue le DIVORCE ORGANISE, au moyen de la banalisation des mœurs, par les servants nationaux du MAL !

Les enfants font leur vie ! Ils daignent de temps en temps vous privilégier de leur visite - eh oui, pour eux c'est un privilège qu'ils vous accordent. Tout l'amour que vous avez investi en eux, la vie, leur vie vous disent-ils, vous le reprend. C'est un placement qui rapporte rarement. Si vous avez la chance d'être embrassé au moins le jour de l'an, on vous dira gâté, c'est bien suffisant pour un croûlant, qui ne peut que déraisonner puisqu'il est vieux, et que tout est fait pour égaliser les réactions de la jeunesse que la société forme à présent pour en faire ses esclaves !

Et vous vous trouvez en déficit d'amour ! Vous ressentez ce besoin d'être aimé, de la même façon que vous ressentiez autrefois le besoin d'aimer. Mais vos illusions peu à peu s'amenuisent ! Que vaut votre vieille peau face à la jeunesse triomphante ? Si une petite faveur vous est consentie, elle ne représente qu'un milliardième de celles accordées durant votre vie à tous ceux que vous n'avez pas cessé d'aimer. Et pourtant on ne manquera pas de vous faire remarquer votre, soi-disant, chance ! Une fois en passant on a pensé à vous, on vous a rendu service.

Le reste du temps libre, on s'investit dans des rencontres hasardeuses, en suivant le slogan assassin : « SORTEZ COUVERT ! » . Autrement dit, pensez à vous salir dans de multiples contacts, et je me souviens, à ce sujet, de ce que me disait ma mère : « Ne sort pas avec une telle, elle est sale, elle ne sera jamais une vraie femme, mais une traînée ! » . Et dire qu'à la TV, on entend ces filles perdues se vanter de s'être fait passer dessus par des bataillons ! Et d'en être fières en plus ! Qu'y ont-elles gagnées ? Cette liberté sexuelle sollicitée par celles mêmes qui ont été tondues à la Libération pour avoir aimé UN ALLEMAND !

Mais voilà que sonne votre dernière heure. Elle approche à grands pas, la maladie s'est emparée de vous, vous ne pouvez parvenir à vous suffire. C'est l'époque cruciale au cours de laquelle vous pouvez déménager en douceur pour votre dernière demeure, en cultivant encore, pour vous seul, le verbe aimer. Et cette époque n'a pas intérêt à durer trop longtemps, car vous êtes devenu un problème ! Et nul, à l'époque d'Internet et du portable, n'aime les problèmes !

C'est fini. L'amour vous a fui. Vous restez seul avec ce besoin d'aimer qui, lui, ne vous a jamais quitté. Seul jusqu'au jour où vous ne serez plus qu'un cadavre, enfoui avec celle qui, un jour terrible, s'en est allée, emportant un morceau de votre coeur, et que vous retrouverez dans le même tombeau.

Alors, quand tout sera dit, peut-être se trouvera-t-il quelqu'un pour aimer votre souvenir. Triste consolation, n'est-ce pas ?

Camille FARRAN

bébé, éducation correcte, sortie de cette société pourrie, apporte-nous l'amour de notre passé, Amours et douceurs, Travail-famille-patrie

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